La recherche au sang ne constitue pas un acte de chasse mais une action complémentaire consistant à rechercher un grand-gibier blessé (cerf, chevreuil, sanglier) à la chasse ou par collision routière. Elle nécessite l’intervention d’un binôme homme-chien, un chien de rouge spécialement éduqué (races Rouge de Bavière ou du Hanovre, par exemple) pour pister des voies froides (4 heures minimum après la blessure). Pour que la recherche ait davantage de chances d’aboutir, quelques préconisations s’imposent.
La recherche « au sang » n’est pas, comme on le croit souvent et à tort, une discipline exclusivement Germanique. Gaston Phoebus, Comte de Foix préconisait déjà au XIIIème siècle « l’emploi
Une fois n’est pas coutume, Fédération Départementale des Chasseurs de l’Isère propose pour 2020 un large panel de formations complémentaires au permis de chasser. A noter : une formation recyclage
Au-delà d’une chasse individuelle, l’archer a aussi sa place en battues, lors des tirs de régulation et il n’est pas exempt de recherche au sang. Voyez plutôt… Les chasses collectives